Harlequin - Octobre 2013
Titre VO : Bought for the Harem
Résumé éditeur : Istanbul, XVIe siècle. Capturée, lors d’un voyage en mer, par les pirates barbaresques, Harriett Sefton-Jones se retrouve quelques jours plus tard sur le marché d’Alger. Un marché aux esclaves, comprend-elle, terrifiée. Se peut-il vraiment qu’on veuille la vendre comme une marchandise ? Alors qu’elle est au fond du désespoir, un Anglais se présente afin de l’acheter. Harriett se croit sauvée. Cet homme a tout d’un gentilhomme, et il la libérera, nécessairement. D’autant qu’il semble la trouver à son goût. Hélas, Harriett découvre vite que les intentions de son compatriote sont loin d’être aussi chevaleresques qu’elle le pensait. Et que cet homme qui répond au nom de lord Hadley, et qu’elle a pris pour son sauveur, est en réalité l’homme de confiance du calife, à la recherche d’une femme pour son maître.
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La faute sans doute aux romances orientales très réussies de Marguerite Kaye, Princes du désert, qui m'ont plus que convaincue dernièrement, cette histoire-là ne m'a absolument pas fait vibrer !
Déjà, je me demande où se situe le 16ème siècle évoqué dans le résumé. L'éditeur aurait aussi bien pu écrire 19ème, 20ème ou 12ème siècle au dos du livre, pour ce que l'auteur a pris la peine de soustraire au contexte de l'époque.
Kassim, froid héros bien falot, soumis et peu passionné, Harriett, héroïne butée et sans nuance, et final trop invraisemblable à mon goût, m'ont déjà franchement rebutée.
J'ai donc peiné tant cette histoire m'a indifférée, d'autant que, dans cet univers oriental, l'auteur a réussi à placer un lord anglais comme héros, sous couvert d'un choix de vie assez opportuniste finalement. Et encore, j'oublie la cousine nunuche et la gentille femme du calife, les circonvolutions du harem juste effleurées et à peine crédibles.
Non, vraiment, si j'avais envie de m'immerger de nouveau dans ces histoires de harem, de désert et de passion sensuelle et frémissante, je relirais plus volontiers les tomes de Mme Kaye ou le flamboyant Kismet de Monica Burns.
Celui-là, je suis clairement passée à côté, une question de timing, sans doute, dans mon planning de lecture. Ça arrive.
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