Il ne m'a pas plu pour plusieurs raisons :
- Le personnage de Richard ne m'a déplu. Je l'ai trouvé raide, compassé et froidement rustre. Quant à sa soi-disant souffrance intérieure, elle m'a laissée plus que dubitative, sans compter que je n'aime pas qu'un héros pleure ses amours passées dans les bras de l'héroïne.
Son attirance pour Juliet pendant la majeure partie du roman ne se borne qu'à de vagues pulsions sensuelles enrobées de remarques désobligeantes, sans humour, ni second degré, et j'avoue que j'ai eu du mal à le supporter. Le brusque retournement final envers les enfants de sa femme manquait vraiment de subtilité.
Je veux bien lire des romances, détente, évasion, tout ça,... Mais qu'on m'y promène sur des chemins un peu plus ondoyants, et pas sur des autoroutes bitumées et marquées de grosses lignes blanches !
- Juliet est bien niaise pour une veuve dotée de trois enfants ! Je me demande encore ce qu'elle lui trouve, à son courant d'air, et bien effacée pour supporter, en tendant les deux joues, ce goujat indélicat. Elle se borne à décorer sa maison pendant qu'il passe trois mois en voyages d'affaires, et si l'idée des échanges épistolaires est bien trouvée, l'auteur n'en tire pratiquement aucun partie. Dommage !
- La jolie petite romance secondaire, avec le personnage un rien léger de Lord Moffat, tourne court, pour être (mal)traitée dans les derniers chapitres, en deux malheureuses pages. Dommage-bis, encore une occasion ratée !
Même la magie de Noël n'a pas opéré. Comme quoi, j’étais réellement fachée...
Dans le même thème, lisez donc Frissons interdits de Kleypas, autrement mieux écrit, spirituel et passionné, que ce pudding de Noël. C'est pas gentil de dire ça, mais c'était trop facile, je n'ai pas pu résister...
- Le personnage de Richard ne m'a déplu. Je l'ai trouvé raide, compassé et froidement rustre. Quant à sa soi-disant souffrance intérieure, elle m'a laissée plus que dubitative, sans compter que je n'aime pas qu'un héros pleure ses amours passées dans les bras de l'héroïne.
Son attirance pour Juliet pendant la majeure partie du roman ne se borne qu'à de vagues pulsions sensuelles enrobées de remarques désobligeantes, sans humour, ni second degré, et j'avoue que j'ai eu du mal à le supporter. Le brusque retournement final envers les enfants de sa femme manquait vraiment de subtilité.
Je veux bien lire des romances, détente, évasion, tout ça,... Mais qu'on m'y promène sur des chemins un peu plus ondoyants, et pas sur des autoroutes bitumées et marquées de grosses lignes blanches !
- Juliet est bien niaise pour une veuve dotée de trois enfants ! Je me demande encore ce qu'elle lui trouve, à son courant d'air, et bien effacée pour supporter, en tendant les deux joues, ce goujat indélicat. Elle se borne à décorer sa maison pendant qu'il passe trois mois en voyages d'affaires, et si l'idée des échanges épistolaires est bien trouvée, l'auteur n'en tire pratiquement aucun partie. Dommage !
- La jolie petite romance secondaire, avec le personnage un rien léger de Lord Moffat, tourne court, pour être (mal)traitée dans les derniers chapitres, en deux malheureuses pages. Dommage-bis, encore une occasion ratée !
Même la magie de Noël n'a pas opéré. Comme quoi, j’étais réellement fachée...
Dans le même thème, lisez donc Frissons interdits de Kleypas, autrement mieux écrit, spirituel et passionné, que ce pudding de Noël. C'est pas gentil de dire ça, mais c'était trop facile, je n'ai pas pu résister...
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