Une citation

"He already missed the innate gentleness that she tried to hide. Though she had been jaded in the past few years, it was still there lurking in her eyes, in her smile, and in the tender she touched him with awe, as if she had never considered that what they found together might exist." The Duchess Takes a Husband - Harper St. George

samedi 1 mars 2014

Un carnet de bal de Louise Allen

Harlequin - Octobre 2007
Titre VO : Not quite a Lady
Résumé éditeur : Angleterre, 1815.C'est avec enthousiasme que miss Lily France fait ses débuts dans le grand monde. Fille d'un bourgeois fortuné, elle est décidée à exaucer la dernière volonté de son père en épousant un aristocrate. Son projet semble bien engagé jusqu'à ce qu'elle rencontre le très séduisant Jake Lowell. Roturier, et précédé d'une sulfureuse réputation, il n'a certes pas le profil du mari idéal. Pire, rien qu'à croiser son regard, on a l'impression de commettre avec lui une indécence. Mais cela ne déplaît pas à Lily - au contraire...
L'histoire
Pour les fans de Louise Allen, voici un petit roman d'excellente facture.
Un Carnet de bal est un roman plus enlevé et original que le laisse entendre le résumé. Et l'intrigue, très rythmée, est pimentée de ce rien d'insolence qu'on aime retrouver chez elle
Lily l'héroïne multifortunée, la tête sur les épaules, à son aise, donc, dans tous les sens du terme, se fait fort de gérer son immense fortune tout en tentant d'intégrer, malgré de visibles handicaps, la haute société anglaise. Sa vulgarité, son goût du clinquant, son parfum de parvenue dont la famille a réussi dans le commerce la poursuivent. Mais il faut aussi compter sur son naturel bon enfant, son charme et sa beauté, sa hardiesse et son intelligence de cœur.
Et Jack Lowell, le chevaleresque  beau ténébreux, tendre, sensuel et admiratif, ne s'y trompe pas, même s'il s'en défend comme un beau diable. Car rien n'est simple pour ce bel homme tout pétri d'honneur mais dépourvu de fortune. 

Mon sentiment
J'ai lu leur histoire avec un grand plaisir. Elle est rondement menée, sans temps mort, avec de nombreux rebondissement, des rencontres entre les héros vivantes, spirituelles, et romantiques, voire très sexy, car la donzelle n'a pas ses yeux ni son cœur dans la poche - et des personnages secondaires très vivants. 
On ne s'ennuie pas, on est heureux du début à la fin. Franchement, si c'est pas le bonheur, ça y ressemble, non? En tout cas, c'est bien ce ressenti-là qui reste quelques jours après sa lecture... 
Donc, Régence + excellent Louise Allen = Foncez !
 / 5


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